' Coming back to Canada, many of the traditional non-governmental organizations, NGOs, not just professionals but those who work in the visible minority field, were quite distraught — that is maybe too strong a word — but they did not like the UN's questioning of our use of the term ``visible minorities'.
Pour en revenir au Canada, un grand nombre d'organismes non-gouvernementaux traditionnels, d'ONG, pas seulement les professionnels, mais aussi ceux qui travaillent auprès des minorités visibles, étaient assez désemparés — le mot est peut-être un peu fort —, mais ils n'ont pas aimé que l'ONU conteste notre recours à l'expression « minorités visibles ».